Mercredi 5 Juin, au début de la nuit.
La nuit est tombée sur la rue du crime. Une rue qui n'a finalement pas grand chose de commun mais qui est à tout prix évitée par les bonnes gens. C'est quelque chose de bien étrange, reprend entant le phénomène sombre que subit toute la ville de Gotham dans son ensemble. En effet, rare son les villes bénéficiant d'une telle couverture policière. Nombreux sont ceux qui se sont enrôlés du coté de la justice, que ce soit des simples gens désireuses de changer leur lieu de vie ou de riches citoyens simplement en train de perdre pieds dans le monde des affaires. Ceux-ci faisant en sorte que la police garde un appui financier malgré le fait que la ville soit littéralement coupée du monde depuis le départ de Batman. D'ailleurs, le continent a lui aussi envoyé des renforts sur l'île tant la situation a dégénéré !
Depuis le départ de Batman... ah, Batman ! Un homme qui était à la fois aimé et détesté de tous ! Décrit parfois comme une blague par les officiers de police de l'époque. Ils regrettent probablement leurs mots en ce moment même. Alors que chaque famille habitant Gotham est en danger. Même les pires criminels, sans le savoir, se voient sombrer dans des situations détestables tant le désordre est grand. Car le désordre ne profite à personne...
Le silence de la rue du crime aurait le don de faire fuir même les plus courageux. Personne n'errait dans les rues, malgré le fait que ce quartier soit évité par tous et chacun, c'était un phénomène particulièrement rare et des plus inquiétants.
Ceux qui oseraient se promener ici ne verraient donc rien qui puisse retenir leur attention, rien qui puissent les retenir eux-même en ces lieux. Rien ! À moins que... si ils prenaient la peine de s'enfoncer au milieu des maisons communes, des bâtiments délabrés...si ils prenaient la peine de suivre des murmures étouffés par les douces brises de vents qui se sont, malgré tout, glissées jusqu'ici... ils trouveraient de quoi contenter leur curiosité.
Un amas de personnes de tout type, de toute origine, au seul point commun de porter des armes. Des armes particulièrement lourdes. Et ils ne les portent pas n'importe comment ! Certaines nécessitent un savoir peu aisé à posséder pour pouvoir ne serait-ce qu'être soulevées sans danger. Des RPG, des mitrailleuses lourdes sans pieds, des lances grenades. Il n'y a pas de jouets, ici. Tout ces "soldats" -le mot convient probablement- portent de nombreuses protections. Tous sont vêtus de cagoules, voire de casques normalisés. Ils portent tous des gilets par balles de bonne qualité, ceux qui portent les armes les plus lourdes aux munitions de nature explosive portent des gilets dignes de démineurs.
Tous ont l'air plus-que-prêts pour partir à la guerre. Mais étrangement, ils attendent. Ils restent là, certains parlent de tout et de rien. Jusqu'à présent, vous ne pourrez pas entendre une information de valeur de leur part. Mais si vous étiez placés de manière à avoir une vue d'ensemble, alors vous sauriez ! Vous verriez d'immenses camions se mouvoir sans difficultés dans les ruelles menant à la rue du Crime. Leurs phares et la lumière produite dessinant d'étranges formes sur chacune des maisons devant les quelles ils passent jusqu'à ce que cette même lumière décrivent de longues ombres, celle des soldats qui se mettent sans attendre à monter dans l'étrange convoi.
Mais que font-ils ? Où vont-ils ? Ne les perdons pas de vue !
( Le convoi n'est pas encore parti )
La nuit est tombée sur la rue du crime. Une rue qui n'a finalement pas grand chose de commun mais qui est à tout prix évitée par les bonnes gens. C'est quelque chose de bien étrange, reprend entant le phénomène sombre que subit toute la ville de Gotham dans son ensemble. En effet, rare son les villes bénéficiant d'une telle couverture policière. Nombreux sont ceux qui se sont enrôlés du coté de la justice, que ce soit des simples gens désireuses de changer leur lieu de vie ou de riches citoyens simplement en train de perdre pieds dans le monde des affaires. Ceux-ci faisant en sorte que la police garde un appui financier malgré le fait que la ville soit littéralement coupée du monde depuis le départ de Batman. D'ailleurs, le continent a lui aussi envoyé des renforts sur l'île tant la situation a dégénéré !
Depuis le départ de Batman... ah, Batman ! Un homme qui était à la fois aimé et détesté de tous ! Décrit parfois comme une blague par les officiers de police de l'époque. Ils regrettent probablement leurs mots en ce moment même. Alors que chaque famille habitant Gotham est en danger. Même les pires criminels, sans le savoir, se voient sombrer dans des situations détestables tant le désordre est grand. Car le désordre ne profite à personne...
Le silence de la rue du crime aurait le don de faire fuir même les plus courageux. Personne n'errait dans les rues, malgré le fait que ce quartier soit évité par tous et chacun, c'était un phénomène particulièrement rare et des plus inquiétants.
Ceux qui oseraient se promener ici ne verraient donc rien qui puisse retenir leur attention, rien qui puissent les retenir eux-même en ces lieux. Rien ! À moins que... si ils prenaient la peine de s'enfoncer au milieu des maisons communes, des bâtiments délabrés...si ils prenaient la peine de suivre des murmures étouffés par les douces brises de vents qui se sont, malgré tout, glissées jusqu'ici... ils trouveraient de quoi contenter leur curiosité.
Un amas de personnes de tout type, de toute origine, au seul point commun de porter des armes. Des armes particulièrement lourdes. Et ils ne les portent pas n'importe comment ! Certaines nécessitent un savoir peu aisé à posséder pour pouvoir ne serait-ce qu'être soulevées sans danger. Des RPG, des mitrailleuses lourdes sans pieds, des lances grenades. Il n'y a pas de jouets, ici. Tout ces "soldats" -le mot convient probablement- portent de nombreuses protections. Tous sont vêtus de cagoules, voire de casques normalisés. Ils portent tous des gilets par balles de bonne qualité, ceux qui portent les armes les plus lourdes aux munitions de nature explosive portent des gilets dignes de démineurs.
Tous ont l'air plus-que-prêts pour partir à la guerre. Mais étrangement, ils attendent. Ils restent là, certains parlent de tout et de rien. Jusqu'à présent, vous ne pourrez pas entendre une information de valeur de leur part. Mais si vous étiez placés de manière à avoir une vue d'ensemble, alors vous sauriez ! Vous verriez d'immenses camions se mouvoir sans difficultés dans les ruelles menant à la rue du Crime. Leurs phares et la lumière produite dessinant d'étranges formes sur chacune des maisons devant les quelles ils passent jusqu'à ce que cette même lumière décrivent de longues ombres, celle des soldats qui se mettent sans attendre à monter dans l'étrange convoi.
Mais que font-ils ? Où vont-ils ? Ne les perdons pas de vue !
( Le convoi n'est pas encore parti )